Vente partielle : le plaisir de vivre à nouveau pour Aimée à l'Île de Ré.
En France, de nombreux seniors propriétaires font face à un paradoxe courant : posséder un patrimoine immobilier de valeur tout en ayant un pouvoir d'achat insuffisant pour profiter pleinement de leur retraite. La vente partielle de leur bien devient une solution de plus en plus pertinente pour libérer des liquidités sans déménager ni s'endetter. Le Contrat Prosper répond précisément à ce besoin, en permettant aux retraités de monétiser une partie de leur bien pour financer leurs projets de vie, améliorer leur quotidien et retrouver leur autonomie financière. L'histoire d'Aimée, propriétaire sur la magnifique Île de Ré, en est un parfait exemple.
Note : Bien que cette histoire soit inspirée de situations vécues par de nombreux seniors propriétaires, le personnage d'Aimée, son histoire personnelle, et les détails cités sont une fiction créée à des fins d'illustration.
Aux Portes-en-Ré, sur l’Île de Ré, la mer apporte chaque jour ses marées, ses embruns et ses parfums iodés. Pour Aimée, 74 ans, ce petit coin de paradis est bien plus qu’une simple résidence : c’est sa maison de toujours, héritée de ses parents qui y vivaient déjà. C’est ici qu’elle a élevé ses enfants et qu’aujourd’hui, ses petits-enfants de Toulon viennent passer chaque mois de juillet. De magnifiques souvenirs se dessinent sur les murs de la maison et dans le jardin — autant de moments dont elle ne pouvait se résoudre à se séparer.
Un patrimoine immobilier de valeur face à une retraite insuffisante
Au fil des décennies, le marché immobilier local a explosé : l’Île de Ré est devenue une destination prisée, et Les Portes-en-Ré, plus encore. La modeste demeure familiale d’Aimée est désormais un bien de grande valeur. Pourtant, comme beaucoup de seniors propriétaires en France, Aimée se retrouvait avec une pension de retraite insuffisante et une pension de réversion modeste. Son revenu courant ne lui permettait plus de mener la vie active et conviviale à laquelle elle était habituée. Malgré cela, elle refusait l’idée de vendre : comment imaginer se séparer de la maison où elle avait tant de souvenirs et où ses petits-enfants venaient chaque été ?
Le dilemme des seniors : entre attachement et besoin de liquidités
Aimée craignait de devenir dépendante financièrement de ses enfants, qui ont leur propre vie à Toulon. Elle redoutait aussi de perdre un patrimoine familial précieux. Cette maison, c’était son ancre : elle y attendait d’autres souvenirs, d’autres moments de partage. Pourtant, les dépenses du quotidien s’accumulaient, et elle se privait de nombreux plaisirs, comme les huîtres de Franck à Trousse-Chemise, faute de moyens.
Il lui fallait trouver une solution à mi-chemin entre ne pas vendre et améliorer son niveau de vie. Beaucoup de seniors, comme Aimée, s’interrogent : la vente totale du bien serait un crève-cœur, le viager les prive souvent de la possibilité pour leurs enfants de racheter la maison, et l’emprunt bancaire classique n’est pas toujours envisageable. Aimée, elle, voulait garder la maîtrise de ses choix, sans hypothéquer son avenir ni celui de ses proches.
Le Contrat Prosper, une solution de vente partielle innovante
C’est alors qu’elle découvre le Contrat Prosper, un dispositif permettant de monétiser une partie de son bien (20 % de sa valeur, dans son cas) sans perdre ni l’usage ni la propriété complète de la maison. Aimée reste chez elle, libre de faire des travaux, d’y recevoir sa famille, de transmettre cette demeure selon ses souhaits. De plus, si ses enfants souhaitent conserver la maison après son décès, ils peuvent racheter la part vendue — contrairement à un viager où l’acheteur obtient le bien dès la disparition du vendeur.
« Cela me rassure de savoir que mes petits-enfants pourront toujours passer leurs vacances ici. Et si un jour la maison était vendue, ils hériteraient quand même d’une somme substantielle correspondant aux 80 % restants. »
Cette simple éventualité — conserver ou vendre ultérieurement — illustre l’avantage par rapport au viager : l’opportunité reste dans les mains de la famille. Aimée obtient un capital immédiat, tout en laissant une large part du bien à ses héritiers. C’est d’autant plus intéressant que la valeur immobilière sur l’Île de Ré a fortement augmenté : entamer 20 % de la maison revient à un montant bien inférieur à la plus-value réelle accumulée au fil des ans.
Un pouvoir d'achat retrouvé pour une vie plus sereine
Grâce à ce complément financier, Aimée a pu débloquer un budget qui change sa vie au jour le jour. Elle raconte avec émotion le premier « petit luxe » qu’elle s’est offert : un plateau d’huîtres de chez Franck, savouré en terrasse, face à la mer. Elle a aussi repris des activités avec ses amies et envisage de faire quelques travaux de rénovation dans la maison pour la rendre encore plus accueillante.
« Je garde ma liberté. Je peux recevoir mes petits-enfants chaque été et continuer à transmettre mon patrimoine. Je ne me sens plus obligée de demander de l’aide, et j’ai la certitude que chacun y trouvera son compte. »
Comment concilier héritage et qualité de vie à la retraite ?
L’histoire d’Aimée reflète la situation de nombreux seniors : ils possèdent un bien immobilier de forte valeur, mais leurs revenus ne suivent pas. Le Contrat Prosper leur permet de mobiliser une partie de ce patrimoine pour mieux vivre aujourd’hui — financer des loisirs, des travaux, des soins éventuels — tout en préservant une part importante de l’héritage pour leurs proches.
Si, à l’avenir, la maison devait être vendue, 80 % de la valeur reviendrait à la famille. À l’inverse, si les enfants souhaitent la conserver, ils rachèteront simplement la part vendue. Cette flexibilité est un avantage majeur : Aimée n’a pas l’impression de “brader” ses souvenirs et reste parfaitement autonome dans ses décisions.
Une renaissance douce et sereine grâce à la vente partielle
Aimée ne tarit pas d’éloges sur cette solution. Elle se sent soulagée, plus épanouie, avec la fierté de s’assumer sans priver ses enfants ni hypothéquer leur héritage. Elle profite enfin de la douceur de l’Île de Ré, en toute tranquillité, en sachant que son choix honore ses souvenirs et anticipe l’avenir.
En libérant une partie de la valeur de sa maison, Aimée a choisi l’autonomie : elle utilise le fruit de son patrimoine pour mieux vivre sa retraite, tout en gardant la possibilité de transmettre le bien familial. Une belle preuve que l’on peut concilier attachement à ses racines, soutien à ses proches et confort de vie retrouvé.
Si vous êtes, comme Aimée, senior propriétaire cherchant une alternative à la vente complète pour dégager des liquidités, renseignez-vous sur les solutions de Vente Partielle.