Vente partielle : la fierté retrouvée pour Farid à Paris.
En France, de nombreux seniors propriétaires font face à un paradoxe courant : posséder un patrimoine immobilier de valeur tout en ayant un pouvoir d'achat insuffisant pour profiter pleinement de leur retraite. La vente partielle de leur bien devient une solution de plus en plus pertinente pour libérer des liquidités sans déménager ni s'endetter. Le Contrat Prosper répond précisément à ce besoin, en permettant aux retraités de monétiser une partie de leur bien pour financer leurs projets de vie, améliorer leur quotidien et retrouver leur autonomie financière. L'histoire de Farid, un ancien artisan à Paris, en est un parfait exemple.
Note : Bien que cette histoire soit inspirée de situations vécues par de nombreux seniors propriétaires, le personnage de Farid, son histoire personnelle, et les détails cités sont une fiction créée à des fins d'illustration.
Paris, 11ᵉ arrondissement. Dans ce quartier vivant, bordé de petits commerces et de cafés animés, Farid, 75 ans, habite le même appartement depuis plus de trente ans. Il l’a acquis à l’époque où il tenait une boutique de proximité ; un commerce florissant sans être mirifique, qui lui a néanmoins permis de devenir propriétaire. Aujourd’hui, s’il vit dans un bien qui a pris énormément de valeur, sa retraite est modeste. Il a beau posséder un appartement qualifié de « riche » en apparence, ses finances ne lui permettent plus d’en faire l’entretien correctement.
Un dîner révélateur et une fierté blessée
Il y a deux ans, Farid a invité chez lui un couple d’amis de longue date. Ce devait être un moment chaleureux, autour d’un tajine parfumé dont lui seul a le secret. Or, la soirée a viré à la déception : la femme de son ami a lâché une remarque désobligeante sur la fraîcheur de son appartement :
« Avec tes moyens, tu pourrais faire quelque-chose… »
Farid a mal vécu cette réflexion. “Quel moyen ?” a-t-il pensé. Aux yeux des autres, il passe pour un propriétaire aisé, alors que sa retraite de commerçant ne suffit plus à couvrir la remise à neuf de l’appartement. Il n’a pas repeint depuis des années ; l’humidité s’installe dans la salle de bain, et le parquet mérite un sérieux rafraîchissement.
Outré et blessé, Farid s’est peu à peu enfermé dans sa fierté. Il ne voulait pas justifier son manque de ressources, ne voulait pas s’avouer dans l’embarras. Il s’est finalement brouillé avec le couple, et depuis, il n’a plus vraiment invité qui que ce soit. Lui qui aimait partager de bons moments, il s’est replié sur lui-même, cachant un profond sentiment d’impuissance.
Un fils encourageant et la fin d'une culpabilité
Farid n’a jamais été marié, mais il a eu un fils, Hamza, aujourd’hui trentenaire et établi à Toulouse. Hamza est venu rendre visite à son père il y a quelques mois. Il a découvert un appartement certes spacieux mais défraîchi, et surtout un père amer et s’isolant. Pendant leur discussion, Hamza lui a avoué :
« Papa, je suis trop bien à Toulouse avec ma femme et nos deux enfants. Je ne compte pas sur l’héritage pour vivre ma vie. Et je ne retournerai pas à Paris… C’est ton lieu de vie, pas le mien. »
Pour Farid, cette révélation fut un véritable soulagement. Il culpabilisait à l’idée de priver Hamza d’un patrimoine potentiel s’il engageait de gros travaux ou s’il vendait un jour l’appartement pour financer sa retraite. Hamza a balayé ces craintes, l’encourageant à vivre pleinement.
« Fais-toi plaisir, papa. Tu n’as jamais pu t’offrir ces stages de pilotage auto dont tu rêvais. Maintenant que tu as du temps, pourquoi tu ne t’y remets pas ? Et puis… emmène Claudine en week-end à Rome, vous en parlez depuis si longtemps. »
Le Contrat Prosper : la solution pour un nouveau départ
Farid a alors compris qu’il possédait un appartement de grande valeur au cœur de Paris, mais qu’il n’utilisait pas ce potentiel pour se faciliter la vie. Ce constat a fait écho à l’histoire de beaucoup de seniors français, riches en patrimoine, pauvres en liquidités.
« Je me suis dit : soit je continue de me priver et de laisser l’appartement se dégrader, soit je trouve une solution pour financer enfin mes projets. »
Un ami lui a parlé d’un dispositif qui, comme un Contrat Prosper, lui permettrait de monétiser une partie de son appartement sans le vendre entièrement, ni perdre l’usage des lieux. Farid a découvert qu’il pouvait :
Conserver l’essentiel du bien pour en transmettre la plus grande part à Hamza.
Toucher un capital correspondant, par exemple, à 20 % de la valeur actuelle de l’appartement.
Financer les travaux de remise à neuf (peinture, salle de bain, parquet) et retrouver un cadre de vie décent.
Se faire plaisir : offrir à Claudine ce week-end à Rome dont ils rêvent, et surtout s’offrir des stages de pilotage sur circuit, sa passion d’adolescent qu’il n’a jamais pu assouvir faute de temps et de budget.
En outre, si plus tard la maison devait être vendue, 80 % de la valeur (au moins) reviendrait toujours à Hamza. Et s’il voulait conserver ce pied-à-terre familial, il lui suffirait de racheter la part cédée — un avantage que n’offre pas le viager.
Une renaissance, des projets et un esprit léger
En signant ce Contrat Prosper, Farid s’est senti pousser des ailes. Il a engagé une petite entreprise pour refaire la peinture et le carrelage. Il prévoit d’investir dans un nouveau mobilier pour la cuisine. Et quand tout sera terminé, il envisage de réinviter le couple d’amis dont les remarques l’avaient tant vexé. Non pas par rancune, mais pour leur montrer qu’il a su rebondir, et peut-être pour renouer des liens.
« Sans ce dispositif, j’aurais continué de traîner mes frustrations, de me sentir impuissant. Là, je redeviens maître de mon destin. »
Le plus beau, c’est que son fils l’encourage. Il est heureux de voir que son père emploie enfin son capital pour lui. Il sait qu’il aura toujours 80 % du bien ou plus, et qu’il n’est pas obligé d’y venir habiter. C’est un confort pour tous.
Conclusion : concilier patrimoine et qualité de vie à la retraite
Aujourd’hui, Farid remarque à quel point un simple dispositif de vente partielle peut changer la donne :
Il demeure chez lui, dans ce 11ᵉ arrondissement qu’il adore.
Il retrouve dignité et estime de soi en rénovant son logement.
Il finance les petits et grands projets qui lui tiennent à cœur depuis si longtemps.
Il préserve le futur de son fils, qui pourra décider le moment venu de garder l’appartement ou de vendre, sans contrainte.
Avec ce Contrat Prosper, Farid s’est libéré d’un poids énorme et redécouvre l’envie de partager. Désormais, il est prêt à vivre et recevoir dans un intérieur à son image — lumineux, soigné, et ouvert sur l’avenir.
Si vous êtes, comme Farid, un senior propriétaire cherchant une alternative à la vente complète pour dégager des liquidités, renseignez-vous sur les solutions de Vente Partielle.
Découvrez cette histoire racontée en vidéo par Victor 👉