Vente partielle : la fierté retrouvée pour Farid à Paris.
Paris, 11ᵉ arrondissement. Dans ce quartier vivant, bordé de petits commerces et de cafés animés, Farid, 75 ans, habite le même appartement depuis plus de trente ans. Il l’a acquis à l’époque où il tenait une boutique de proximité ; un commerce florissant sans être mirifique, qui lui a néanmoins permis de devenir propriétaire. Aujourd’hui, s’il vit dans un bien qui a pris énormément de valeur, sa retraite est modeste. Il a beau posséder un appartement qualifié de « riche » en apparence, ses finances ne lui permettent plus d’en faire l’entretien correctement.
« J’ai retrouvé ma sérénité sans déménager ». Témoignage de Marie, 71 ans.
À 71 ans, Marie est une retraitée pleine de vie, qui aime profiter de ses passions et gâter ses enfants. Pourtant, il y a quelque temps, une angoisse financière grandissante commençait à peser sur son quotidien. Propriétaire de son appartement, elle voyait son épargne fondre à vue d’œil pour couvrir les charges et les dépenses imprévues.
Face à une impasse qui la laissait démunie, elle a découvert une solution qui a tout changé : le Contrat Prosper, une forme de vente partielle de son bien immobilier. Elle nous raconte son histoire, de ses doutes initiaux à la tranquillité d’esprit retrouvée.