Vente Partielle : un second printemps pour Albert à Aix-en-Provence.

Albert, 73 ans, vit à Aix-en-Provence et se retrouvait face au même dilemme que de nombreux seniors : vendre son bien pour des raisons financières ou s'accrocher à son histoire. C'est le Contrat Prosper, une solution de vente partielle, qui lui a permis de trancher.


Note : Cette histoire est une fiction, inspirée des situations vécues par de nombreux seniors qui contactent Merci Prosper.


La Rue Thiers traverse le centre historique d’Aix-en-Provence, bordée de façades anciennes, de cafés animés et de boutiques artisanales. C’est dans l’une de ces charmantes maisons, au deuxième étage d’un immeuble de caractère, qu’habite Albert, 73 ans. Originaire de la région, il a bâti toute sa vie ici, côtoyant le marché aux fleurs et les librairies indépendantes.

Riche en patrimoine, pauvre en liquide : le dilemme des seniors propriétaires

Albert a longtemps travaillé comme libraire, transmettant sa passion pour la littérature provençale et pour les philosophes du siècle des Lumières. Pourtant, à l’heure de la retraite, sa pension s’est révélée très modeste. Ses revenus courants ne lui permettaient plus de s’offrir certains plaisirs qui le réjouissaient tant, comme les gâteaux de chez Weibel ou les fromages de chez Lemarié, deux adresses incontournables d’Aix-en-Provence.

« Quand je passais devant Weibel ou devant Lemarié, je me retenais d’entrer ; je regardais les vitrines et je me disais : “Ce sera pour une autre fois.” Mais d’autres fois, il n’y en avait presque plus… »

Au-delà de ces petits plaisirs, il peinait à faire face aux charges de copropriété et aux factures d’entretien, dans cet immeuble ancien dont l’emplacement prisé avait largement augmenté la valeur. Albert vivait le paradoxe d’être “riche en patrimoine, pauvre en liquidités”.

Vendre son bien par nécessité ou rester chez soi : l'alternative recherchée

Bien des gens lui disaient : « Avec un bien comme ça, vends ! Tu pourrais t’installer ailleurs et profiter du reste. » Mais pour Albert, la Rue Thiers n’était pas qu’une simple adresse : c’était son histoire, son ancrage. Il y avait vécu les plus belles années de sa vie, rencontré son épouse aujourd’hui disparue, élevé un fils parti vivre à Marseille.

« On me proposait parfois un viager ou une vente totale, mais je ne me voyais pas quitter mon appartement. C’est plus qu’un toit, c’est un pan de moi-même. »

D’ailleurs, son fils et sa petite-fille aimaient venir y passer des week-ends. Vendre, pour Albert, c’était prendre le risque de rompre le fil de ces moments partagés. Il cherchait désespérément une solution lui permettant de rester, tout en dégageant des fonds.

Pourquoi la vente totale ou le viager ne convenait pas à Albert


Albert redoutait de dépendre financièrement de sa famille. Il préférait se priver, plutôt que de demander de l’aide à son fils. Fier de son indépendance, il sentait malgré tout l’urgence de trouver une issue. Ni l’emprunt bancaire classique ni la vente complète ne lui convenaient. De plus, le marché aixois ayant flambé, il jugeait illogique de se déposséder intégralement d’un bien promis à une forte plus-value.

Qu'est-ce que la Vente Partielle ? Le principe du Contrat Prosper

En lisant un article sur les solutions alternatives pour les seniors propriétaires, Albert entendit parler du Contrat Prosper. Il s'agit d'une solution de Vente Partielle de la nue-propriété.

Le principe est simple : monétiser une partie de son bien (20 % par exemple) sans renoncer à l’habiter ni à en transmettre la majeure partie à ses héritiers.

« J’ai découvert que c’était une option plus souple qu’un viager. Mes proches pourront racheter la part que j’aurai cédée s’ils veulent garder l’appartement dans la famille. Sinon, lors de la vente, ils récupéreraient tout de même la majorité du fruit de la transaction. »

Albert y vit une évidence :

  • Il restait chez lui, au cœur d’Aix-en-Provence.

  • Il ne grevait pas l’héritage de son fils, car 80 % de l’appartement leur reviendrait un jour.

  • Il obtenait assez de liquidités pour vivre confortablement et envisager quelques travaux de rénovation (réfection de la salle de bain, optimisation de la cuisine).

Retour à la douceur de vivre

Dès la signature du Contrat Prosper, Albert ressentit un profond soulagement. Il put solder quelques factures en retard, s’équiper d’un nouveau chauffe-eau pour son appartement, et surtout goûter à nouveau quelques douceurs de chez Weibel et Lemarié.

« Je me suis offert un plateau de fromages Lemarié, et j’ai invité mes voisins à une dégustation improvisée. Ça faisait longtemps que je n’avais pas organisé quelque chose chez moi. Quelle joie de retrouver l’élan de recevoir ! »

Albert eut également la possibilité de financer des sorties culturelles : concerts de piano au Grand Théâtre de Provence, visites commentées au musée Granet… Tout cela renforça son sentiment de retrouver sa vie sociale et de rester acteur de sa retraite, sans dépendre de quiconque.

Quand liberté et transmission ne font qu'un

En misant sur cette formule, Albert a préservé la liberté de son fils de décider plus tard du devenir de l’appartement. S'il désire le conserver, il pourra racheter la part cédée par son père ; s'il opte pour la vente, 80 % de la valeur reviendra malgré tout à la famille. Dans les deux cas, le choix final leur appartient.

« Je n’ai pas cédé mon capital à vil prix ; j’ai seulement mobilisé la juste part nécessaire pour ne plus me priver. Je me sens léger et confiant. »

La solution de Vente Partielle n'a entamé qu'une petite partie de la valeur de son bien. Et puis, il est ravi de pouvoir en faire profiter ses proches dès maintenant : la cuisine refaite, la salle de bain modernisée, tout cela rend les séjours en famille plus confortables, sans rien enlever au charme provençal du lieu.

Conclusion : un second printemps

Aujourd’hui, Albert se réjouit de pouvoir s’accorder quelques douceurs, de participer à la vie culturelle d’Aix et de recevoir ses proches dans un appartement amélioré et chaleureux. Fini la gêne et la culpabilité de devoir se priver. Sa décision respecte son histoire, honore ses souvenirs, et garantit l’avenir pour son fils et sa petite-fille.

Le Contrat Prosper lui a offert ce second printemps — un compromis entre patrimoine préservé et quotidien épanoui. Albert aime répéter, un sourire aux lèvres, que ce choix, il l’a fait en toute conscience, soucieux de conserver ses attaches à Aix-en-Provence, tout en se donnant la possibilité de vivre pleinement chaque jour de sa retraite.


Si vous êtes, comme Albert, un senior propriétaire cherchant une alternative à la vente complète pour dégager des liquidités, renseignez-vous sur les solutions de Vente Partielle.

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